La montée de la glacière poursuit sa métamorphose

Depuis 2019, la montée de la glacière, une des artères les plus fréquentées mais aussi une des plus anciennes du village fait l’objet de travaux importants. Après l’enfouissement des câbles électriques BT et de télécommunications, des réseaux Enedis HTA, et de l’éclairage public, la municipalité a aménagé un cheminement piéton sécurisé pour relier la voie à l’aire des pauvres. Deux nouvelles opérations d’envergure sont prévues durant la période estivale 2022. Détails.

La 1re opération concerne le collecteur d’assainissement entre le chemin des areniers et le haut de l’avenue Charles de Gaulle qui sera remplacé par un ouvrage neuf. « L’installation date de 1945 pour une partie et 1970 pour l’autre ! » rajoute l’élu. Dans la foulée, le réseau d’eau potable, très ancien et en fonte sera rénové avec une installation en polyéthylène. « Après les travaux d’enfouissements et de rénovation des réseaux réalisés ces trois dernières années, nous pourrons envisager une réfection partielle de la chaussée à l’été 2023 ».

La 2e opération va consister à créer un nouveau mur de soutènement au droit du square Decombis situé dans le virage au départ de la montée de la Glacière. « L’objectif est de réaliser un chemin sécurisé pour les piétons, avec réaménagement du square ». Dans le cadre de ce projet urbain, de nouvelles plantations d’arbres agrémenteront l’espace. La continuité du trottoir sécurisé sera ainsi assurée de l’aire des pauvres jusqu’à la rue Aristide Briand, à l’exception du rétrécissement entre les accès à Neruda.

Pour préparer au mieux cette période de travaux prévus de mi-juin à mi-septembre, une réunion publique sera organisée début juin afin de présenter plus en détails le projet à l’ensemble des riverains. « La municipalité poursuit ses efforts pour apporter à tous les usagers la sécurité piétonne et routière attendue » conclut Michel Peronnet.

L’intégralité des travaux seront financés par la métropole.

Compte tenu de la fréquentation de cet axe et pour limiter la gêne occasionnée, le chantier ne pourra être programmé que durant l’été.

Michel PERONNET, adjoint au maire délégué aux travaux.

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